L'histoire :
Minato vient de réussir son concours d’entrée à l’université et vient annoncer la bonne nouvelle à Hisako dans la boutique où elle travaille. La jeune femme est ravie pour lui et souhaite lui offrir une montre ancienne. En fait, Minato est amoureux de Hisako et lui fait une fois de plus une déclaration en dénigrant Yato, mais ses paroles sont inefficaces. Plus tard, Minato rencontre une de ses camarades, Kotoko, à l’université. La demoiselle lui propose d’aller au cinéma mais Minato refuse sèchement : il est déjà amoureux d’une autre et aimerait que Kotoko cesse de lui tourner autour. C’est alors qu’ils rejoignent Hisako, et Kotoko comprend rapidement que c’est elle qui occupe le cœur du jeune homme. Hisako lui réitère alors qu’elle aime Yato et que cela ne changera jamais. Pourtant, Minato refuse de s’avouer vaincu. Pour le faire plier, Kotoko va alors s’en prendre à Hisako...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Peu convaincu par le manque de profondeur et de rythme du premier volume, on comptait sur celui-ci pour remonter le niveau mais c’est au contraire une descente qui est opérée ici. En effet, il n’y a même plus de fil conducteur et on assiste donc à une succession de chapitres qui suivent le même schéma : Hisako rencontre une de ses connaissances qui est intéressée (en bien ou en mal) par sa très grande beauté mais Yato vient systématiquement la retrouver et ils finissent par faire l’amour... Autant dire que cela n’est pas intéressant et que cela manque cruellement de fond. De plus, la répétition des situations ne fait qu’alourdir nos paupières. Par ailleurs, on remarque quelques fautes d’orthographe, ce qui parachève de nous déprimer. En ce qui concerne les graphismes, les personnages savent mettre des tenues qui les mettent en valeur et leurs expressions sont soignées. Les rares scènes d’action sont plutôt fluides mais les scènes coquines sont trop légèrement érotiques. Bref, ce deuxième volume se résume en un mot : déception.