L'histoire :
Hisako et son loup-garou sont loin d’avoir une vie paisible :
- En se promenant le long des berges, Hisako et Yato trouvent une stèle représentant Orihime, la princesse dont l’amour interdit est célébré lors de la fête du Tanabata. En la touchant, Hisao est alors possédée par la princesse qui tient absolument à retrouver Hiroboshi, son mari qu’elle est condamnée à ne voir qu’une fois par an...
- L’ancien petit ami de Hisako revient en ville et, toujours épris de la jeune femme, est bien décidé à lui montrer que Yato n’est pas digne d’elle...
- Lors de leurs ébats, Hisako perd toujours la tête sous les caresses de Yato. Aussi, elle décide de lui résister le plus possible pour inverser les rôles...
- Hisako constate qu’elle a pris du poids et entame alors un régime. Cependant, elle refuse que Yato s’en rende compte...
- Hisako et Yato aident le patron de la demoiselle à faire des recherches dans la demeure familiale. Seulement, un esprit rôde dans l’habitation...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le corps de Hisako est à l’honneur de ce neuvième volet car tout le monde veut le posséder de diverses manières : un esprit l’utilise pour chercher son amour, un ancien petit ami veut l’épouser, Yato veut lire le désir dans ses yeux... Des chapitres qui se suivent en traitant du même thème de manières différentes donc, mais l’ensemble manque de saveur car cela ressemble plus à du remplissage qu’autre chose. En effet, les deux jeunes gens s’étant promis un amour inconditionnel et brûlant de désir l’un pour l’autre, on ne s’attend pas à les voir se séparer subitement et il n’y a donc plus de matière à traiter pour faire bouger le récit. De plus, le scénario s’attarde plus sur les passages coquins que le reste (d’ailleurs, les dialogues deviennent plus épicés), ce qui dégage de l’ennui et la terrible sensation de lire un roman Arlequin illustré. En résumé, un opus à oublier.