L'histoire :
Yoku fait subir un entraînement intensif et particulièrement éprouvant à Natsumi. Alors qu’ils sont en train de gravir les marches d’un temple en courant, la demoiselle s’arrête car elle est épuisée. Devant les remontrances de Yoku, la jeune fille lui hurle qu’elle ne veut plus s’entraîner avec quelqu’un qu’elle déteste et qui passe son temps à l’humilier. Elle fait alors demi-tour mais trébuche sur une marche et commence à tomber. Yoku parvient à la rattraper in extremis mais, une fois la chute évitée, il accepte de relâcher son étreinte à la seule condition que Natsumi ne s’enfuit pas à cause de lui. Une fois la demoiselle libérée des bras de son capitaine, elle se dépêche de rentrer chez elle en lui répétant une fois de plus qu’elle le déteste. Le soir, Ryô explique à sa petite sœur que Yuko l’entraîne de façon aussi brutale car elle doit absolument se muscler pour la prochaine compétition. Le lendemain, Natsumi retrouve Yoku pour lui dire qu’elle a compris pourquoi il se montre aussi sévère. Puis, elle lui refait une déclaration et, cette fois, le garçon va y répondre favorablement...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
A l’instar du volume précédent, les évènements se bousculent à toute vitesse. Dès le premier chapitre, Yoku accepte d’avouer ses sentiments et de sortir avec Natsumi, malgré l’interdiction de leur club. Cependant, le couple va devoir faire face à un problème de taille : Kôshi. Ce dernier n’est pas prêt à tirer un trait sur Natsumi et leur annonce clairement ses intentions de séduire la belle dont il est lui aussi épris. Même si Kôshi se montre parfois trop entreprenant, la rivalité entre les deux garçons se fait au grand jour et on apprécie le fait qu’il n’y ait pas de secret qui reste enfoui inutilement ou de non-dit qui gâche l’histoire. De plus, deux nouveaux personnages font leur apparition (un entraîneur de renom et la future rivale de Natsumi) mais ceux-ci sont pour l’instant relégués au second plan. Mise en scène par des graphismes assez classiques mais fort agréables, l’histoire se lit sans déplaisir, bien au contraire, et on a hâte de lire la suite.
