L'histoire :
Mayu et Takuma sont seuls dans l’observatoire. Le jeune en profite pour dire à la demoiselle qu’il aimerait qu’elle arrête de le coller car il ne la supporte plus. Pour être sûr de bien se faire comprendre, il tente également de lui rendre le porte-bonheur qu’elle lui avait donné quelques années auparavant. Mayu est sous le choc et, comme elle refuse de le reprendre, Takuma le jette en l’air. Aussitôt, la demoiselle se jette dessus en se mettant à pleurer pendant que Takuma s’en va… Plus tard, Kô vient remettre la lettre d’amour d’une fille à Takuma. Sans prendre la peine de la lire, Takuma la déchire en miettes en rigolant. Pendant le cours de tennis, Mayu vient voir Kô pour savoir su Takuma a lu la lettre. Le jeune homme tente alors de lui expliquer ce qu’il s’est passé et lui conseille de laisser tomber le jeune homme. La nuit, Kô n’arrive pas à dormir car Takuma fait du bruit. Il s’apprête à réveiller son camarade de chambre lorsqu’il se rend compte que Takuma pleure en murmurant des excuses à Mayu dans son sommeil. Le garçon décide alors de tout faire pour rapprocher les jeunes gens…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Alors que Takuma repousse une fois de plus Mayu, Kô décide d’abord de les rapprocher avant de vouloir les séparer tout en luttant pour ne pas tomber amoureux de la demoiselle. Certes, le triangle amoureux est habituel dans un shôjô mais la façon dont se comportent les personnages est trop ridicule pour nous absorber dans la lecture : tous prennent la pose pour parler avec, souvent, des regards provocateurs inutiles, et leur réactions ne sont pas crédibles pour deux sous (surtout les exploits de Takuma). De plus, comme l’histoire commence déjà à tourner en rond, un nouveau personnage surgit, mais plutôt que de relancer l’intrigue et offrir du suspense, cela ne fait qu’annoncer des situations encore plus prévisibles. Par ailleurs, les problèmes graphiques sont constants, notamment en ce qui concerne les proportions physiques des personnages. Bref, encore un volume qui ne passionne pas, bien au contraire…