L'histoire :
Yohei tente d’emmener Sarara à l’entraînement mais celle-ci refuse d’y aller car elle ne pourra plus danser avec Koga. Les deux collégiens se disputent et Sarara part s’isoler et pleurer dans sa chambre. De son côté, Yohei demande au père de la demoiselle, qui est un ancien professionnel de la danse classique, de l’entraîner à danser le rôle du prince dans le ballet « La Belle au Bois Dormant ». Plus qu’un simple caprice, il s’agit là du serment qu’il avait fait à Koga sur son lit d’hôpital. C’est une promesse dure à tenir car l’attribution des rôles n’est que dans une semaine et Yohai n’a pas encore le niveau. Mais le jeune homme est déterminé et n’a pas peur de danser 8h par jour ! A l’école, Sarara se rend compte que la disparition de Koga n’attriste pas vraiment ses camarades de classe, qui se sont aussitôt entichées d’une autre idole. Finalement, c’est Mika, sa rivale, qui va trouver les mots pour apaiser sa peine et la convaincre de reprendre la danse. Elle décide donc de se rendre à l’audition pour le rôle du prince et c’est une vraie surprise quand elle se rend compte que Yohei y participe.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Voici donc le dernier volet de cette courte et peu intéressante série. Encore une fois, l’intrigue se déroule sur la moitié du manga seulement, la deuxième partie étant constituée d’une histoire courte sur une collégienne qui se retrouve projetée dans un monde parallèle et dont elle s’avère être l’élue annoncée par l’oracle (là aussi c’est du déjà-vu). Du point de vue graphique, on ne note pas d’amélioration particulière depuis les précédents volumes, c’est toujours le désert du côté des décors et le dessin des personnages a déjà été vu mille fois. Côté histoire, la mort de Koga nous avait énormément surpris car c’est un des personnages principaux, mais c’est bien la seule chose qu’on peut en retenir. Tout le reste est prévisible et traité de façon plutôt simpliste. Et même la mort de Koga, amenée de façon complètement absurde, semble avoir été « demandée » afin de pouvoir rebondir dans le but d’arrêter la série peu après. Pour conclure, une série à réserver, vraiment, mais alors vraiment, aux petites filles fans de danse classique et très peu, mais alors très peu, regardantes.