L'histoire :
Dans le parc, sur un banc, Iku s’est écroulée de fatigue à côté de Yano et le jeune homme en profite pour embrasser la demoiselle. Il se sent minable d’agir de la sorte mais il ne peut s’en empêcher car il est amoureux d’elle. Pendant ce temps-là, celle-ci s’imagine en train d’embrasser Yori de façon très torride. Lorsqu’elle se réveille, elle se retrouve nez à nez avec Yano et la demoiselle le repousse violemment. Elle se rappelle alors s’être endormie dans le parc puis sent un goût bizarre dans sa bouche : il s’agit en fait des cigarettes de Yano qui lui donne mauvaise haleine. Le chien d’Iku, Petit Yori, fusille Yano du regard pour ce baiser volé et le garçon lui demande de bien vouloir garder le secret. Seulement, l’animal est vraiment en colère et il mord la main du lycéen. C’est alors que Petite Iku, la chienne de Yano, s’approche de Petit Yori et le mord à son tour. Iku est catastrophée de voir les petits chiens se disputer et Yano prend Petit Yori dans ses bras pour s’excuser. Puis, Petite Iku lèche la joue du chien pour s’excuser elle aussi…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
S’il ne se passait rien dans le précédent volume, on est surpris de voir à quel point celui-ci est encore plus creux et ne sert vraiment à rien. En effet, Yano vole un baiser à Iku puis l’avoue à Yori dans les premières pages et c’est tout. On se demande comment l’histoire peut traîner autant en longueur sans rebondissement ni la plus infime progression de l’intrigue : on ne fait que voir les personnages en train de pleurnicher. Les petits toutous sont mis à l’honneur et, même si ces boules de poil sont très mignonnes, cela s’avère simplement mièvre et encore plus débile que le reste. Quant aux dessins, le niveau est à peine correct et les défauts sont toujours les mêmes. Le tramage de fond est trop utilisé, le découpage est dynamique mais trop classique et les décors trop absents. De plus, les personnages ont beau être expressifs, leur tendance à avoir des têtes SD (Super Deformed) est vite gavante. En somme, ce septième volume ne présente aucun intérêt et on espère que le prochain ne sera pas aussi pénible.