L'histoire :
Yaiba a pu parer l’attaque d’Onimaru grâce à l’épée Hao mais cette dernière se fissure. Cela fait sourire Onimaru qui relance alors un mangetsu-ken. L’attaque qui part est si violente que cela rase tout sur son passage sur plusieurs kilomètres jusqu’à atteindre une partie de la ville. Yaiba a de nouveau été protégé par son épée mais celle-ci s’est complètement brisée ! Le jeune homme est alors paniqué car il n’a plus d’arme pour se défendre. Onimaru sent que sa victoire est proche et lance encore un mangetsu-ken. Yaiba entend soudain une voix lui dire d’utiliser son épée : celle-ci s’est libérée de son lourd fourreau et irradie désormais de lumière, ce qui veut dire qu’elle est devenue l’épée sacrée Seiken...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le premier tiers est consacré à l’affrontement tant attendu de Yaiba et Onimaru. Les deux personnages vont devoir redoubler d’effort pour ce duel à mort et leurs épées vont elles aussi déployer une nouvelle énergie pour aider leur propriétaire à se battre. Néanmoins, les coups s’enchaînent à vie allure sans qu’on n’ait le temps d’apprécier vraiment les nouvelles techniques mise en place : de fait, on s’ennuie assez et on a du mal à être immergé dans le récit. Si le vainqueur du combat est assez facile à deviner, on a tout de même le droit à une surprise en ce qui concerne le dénouement. Puis, les deux autres tiers du tome lancent ce qui doit être le dernier axe de la série (qui s’arrête au volume suivant) avec une jeune fille qui se présente comme la sœur de Yaiba et qui a des révélations sur sa famille. Bien qu’on apprécie d’en apprendre un peu plus sur le jeune homme et sur le père de ce dernier, on est assez dubitatif par rapport à la façon dont cela est amené. L’introduction de cette partie est en effet très abrupte, un peu comme si l’auteur avait inventé cela à la va-vite, et on a du mal à adhérer à tout cela. Enfin, avec le fait qu’un tournoi début en fin de volume alors que le prochain sera le dernier, on craint que la conclusion ne soit précipitée : espérons que nos craintes ne se réalisent pas.