L'histoire :
Asuka offre un portable à carte à Yui pour pouvoir le joindre directement en sortant du travail. Seulement, Yui remarque qu’il est inscrit que c’est un téléphone conseillé aux jeunes enfants et, vexé, il refuse donc catégoriquement le téléphone. Pour le faire accepter, Asuka lui fait alors du chantage : Yui n’aura plus le droit de le toucher s’il n’utilise pas le téléphone. Le lendemain, profitant de l’absence de leurs parents et de Shiori, Asuka se trimballe avec une simple chemise sur le dos et fait tout pour aguicher Yui qui a bien du mal à ne pas lui sauter dessus. Finalement, Yui vient se coller à Asuka et, tous les deux étant excités par le rapprochement, ils finissent par faire l’amour sans que le cadet n’ait eu besoin d’accepter le téléphone. Le soir, après un rendez-vous professionnel, Asuka rentre à pied quand il reçoit un appel : il s’agit de Yui qui a changé d’avis pour le portable et qui se tient devant lui. Les deux jeunes gens s’embrassent fougueusement sans voir qu’un collègue d’Asuka les observe...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Dans la même veine que le volume précédent, la première moitié de celui-ci se contente de nous montrer Yui et Asuka en train de forniquer à tout va. Leurs rares prises de tête sont inutiles et les chapitres se terminent tous de la même manière. Les positions varient de temps à autre et sont assez crues, mais on a du mal à ignorer le fait que l’histoire n’avance pas du tout. La deuxième moitié tente quant à elle de faire avancer l’intrigue car Asuka réalise que Yui est capable de laisser tomber le superbe avenir professionnel qui s’ouvre à lui par amour : hélas, on n’est pas transporté par les sentiments car les personnages ont des comportements trop idiots et peu crédibles. De plus, il n’y a presque plus de sexe dans ce passage-là, ce qui enlève le seul intérêt du titre. Bref, une suite et fin dispensable.