L'histoire :
Alors qu’il sort à peine de la fac, Mansaku a trouvé un emploi de chef de service dans une grosse entreprise. Le jeune homme est ravi et affiche de fait un sourire un peu niais en arrivant le premier jour. Dans l’ascenseur, il entend des hommes parler de lui comme étant le nouveau patron de la section « HAREM » et qui le plaignent. Mansaku commence à craindre le pire mais ses appréhensions sont dissipées quand il arrive à son étage et qu’une très charmante demoiselle l’accueille. Là, il est présenté à son service et constate qu’il n’y a que des femmes, toutes plus belles les unes que les autres. Celles-ci l’accueillent avec enthousiasme et l’emmènent aussitôt dans le bureau du président, heureusement vide, pour lui fêter la bienvenue. Mansaku est forcé de boire de l’alcool jusqu’à ce qu’il s’écoule de sommeil, complètement saoul. A son réveil, il est seul dans le bureau avec Melissa, la plus autoritaire des employées, et cette dernière va lui sauter dessus. C’est ainsi que commence son travail qui va lui demander beaucoup d’effort pour satisfaire ses collègues...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après Virgin fetichism qui mettait en scène des personnages vierges, Takumi Adachi nous propose un nouvel hentaï dont la thématique est cette fois les offices ladies. Ainsi, on suit Mansaku, un jeune homme qui décroche un boulot de chef de service dans une grosse entreprise et qui va faire connaissance très intimement avec chacune des femmes de son service. Côté scénario, c’est franchement le désert et chaque chapitre se contente de poser une situation dans le contexte du travail sans vraiment suivre de fil conducteur. La seule variété proposée vient des caractères des demoiselles en question car il y en a pour tous les goûts : femme-enfant, autoritaire, sportive, timide ou encore ancrée dans les traditions japonaises, il y a l’embarras du choix. Côté graphismes, il y a de quoi se rincer l’œil car les personnages s’en donnent à cœur joie ! Certes il y a un peu de censure mais rien de bien gênant comme cela peut parfois être le cas, et on profite très bien des cadrages pour apprécier les scènes de sexe. De plus, les personnages féminins sont très charmants et pulpeux, Mansaku étant finalement très banal, et on apprécie que les poitrines ne soient pas déformées au point de ressembler à des pastèques. En gros, un scénario absent mais des scènes très chaudes.