L'histoire :
Eitarô est employé dans une grande agence de publicité. Il a 22 ans et il est toujours puceau, au grand dam de son meilleur ami et colocataire, Teruyoshi. Celui-ci essaye de le bouger afin qu’il rencontre des filles mais Eitarô n’y met pas vraiment de la bonne volonté. Plus tard, au bureau, Eitarô renverse une très belle jeune femme au tournant d’un couloir. Celle-ci se plaint d’avoir ainsi abîmé ses collants, mais Eitarô n’a pas le temps de se perdre en discussions car il est déjà en retard à sa réunion. Resté tard pour finir son travail, il va ensuite s’accorder un moment de détente en surfant sur des sites pour adultes. Il se fait alors surprendre par la jeune femme rencontrée plus tôt, qui commence immédiatement à le chauffer en lui demandant de l’aider à enlever ses collants abîmés. Eitarô connaît alors sa première expérience mais, une fois rentré chez lui, découvre que Teruyoshi et la jeune femme étaient complices. Un peu énervé de s’être fait avoir, il n’en est pas moins content d’avoir enfin découvert les plaisirs du sexe et est plus décidé que jamais à se trouver une petite copine. Commence alors pour lui une recherche active qui va le mener à rencontrer diverses jeunes filles…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
100% coquin, débordant de fan service, et à la limite du hentaï, on se demande pourquoi cette série n’est décommandée qu’aux moins de 15 ans. Les scènes de sexe sont en effet dignes des mangas d’U-Jin, tel qu’Angel (Tonkam), interdit à l’époque aux moins de 18 ans. Mais les niveaux ont été revus à la baisse et une vague de mangas coquins visant les adolescents et les jeunes adultes débarquent ainsi sur nos contrées pour notre plus grand plaisir. Et du plaisir il y en a, à lire des mangas comme celui-ci, qui nous présentent des situations un peu plus originales que ce que l’on voit d’habitude dans ce genre de production, même si on n’échappe pas complètement au stéréotype de la fille facile de-ci de-là. A noter aussi que les femmes ne sont pas continuellement les victimes soumises, mais sont au contraire parfois maîtresse de leur destin. Il arrive même plusieurs fois qu’elle ne passe pas à la casserole, c’est pour dire ! Tout cela est servi par un dessin agréable et suffisamment bien travaillé, et utilisant les encrages et les trames à foison. Les personnages féminins sont très bien rendus dans leur globalité, qu’elles soient nues ou non. Il est d’ailleurs fort appréciable que l’auteur ne s’enferme pas dans la sempiternelle bombe aux gros seins et nous serve à la place toutes sortes de profils. Bref, on aime et on en redemande !
