L'histoire :
Eitarô et Emu se retrouvent enfermés dans les vestiaires du restaurant où la jeune fille travaille, une de ses collègues ayant ainsi décidé de lui donner un coup de pouce pour qu’elle puisse enfin conclure avec son petit ami. Emu se déshabille et Eitarô commence les préliminaires, mais la jeune femme prend soudain conscience qu’ils n’ont pas pris de douche et décide d’enlever elle-même sa culotte. Malgré un temps d’hésitation, les amants reprennent là où ils en étaient et finissent enfin par faire l’amour pour la première fois… Plus tard, Emu en discute au lycée avec ses amies et l’une d’entre elles lui avoue qu’elle déteste faire l’amour car cela lui fait à chaque fois mal. Mais Emu, bien qu’ayant eu mal aussi, soutient que cela valait le coup. Kaori, une autre de ses amies, trouve que continuer à faire l’amour même si l’on a mal ne peut signifier qu’une chose : qu’Emu aime vraiment son petit ami. Le soir, Emu se rend chez Eitarô et, après un dîner, le couple recommence à faire l’amour trois nouvelles fois. Le lendemain, Eitarô n’arrive pas à se concentrer au boulot et ne pense qu’à Emu. Quant à elle, impossible de réviser ! Mais les amoureux fous vont pourtant devoir se quitter car Eitarô part pour quatre jours à Kagoshima pour le tournage d’un spot publicitaire pour un des nouveaux produits de sa société…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Déjà le septième volume pour cette série coquine vraiment amusante et l’auteur arrive encore à varier les situations sans nous lasser. Eitarô et Emu ont enfin réussi à conclure et leur relation passe donc à un nouveau stade. Néanmoins, le jeune homme continue malheureusement de se voir jouer des tours par le destin et doit de nouveau tromper quelque peu sa régulière pour un petit extra, bien malgré lui (si, si, c’est possible ! Lisez et vous verrez !). La seconde partie du volume est consacrée à des personnages secondaires : Obi au cœur d’un quiproquo, Miho et ses déboires au club de tennis, et Sana et ses petits boulots déshabillés. En bonus de fin, nous avons comme toujours le droit à des illustrations des jeunes filles de la série réalisées par d’autres auteurs et accompagnées de mots d’encouragements. Tout au long du volume, les dessins et la mise en scène sont travaillés et prouvent qu’il est possible de faire du manga érotique de qualité. On retiendra notamment le passage très amusant où la mièvrerie des amoureux fait littéralement pousser des roses sur le découpage des cases. Quant aux jeunes filles, le trait de l’auteur sait très bien rendre leur plastique. Comme d’habitude, il y en a un peu pour tous les goûts avec des femmes enfants (comme Emu et Arumi), et d’autres femmes plus pulpeuses (comme Anne ou Miho), voire même très pulpeuses (Sana). A ne pas manquer !