L'histoire :
Depuis que Miho est partie pour l’Angleterre sans qu’ils puissent se faire leurs adieux, Sakakibara déprime. Il ne sait ni où ni comment joindre sa fiancée et repense sans cesse au bon temps qu’ils passaient ensemble jusqu’à peu. Au travail, lui et Obi ont un entretien avec Mlle Edaburu, la P.D.G. de la société des choux roses, venue leur présenter ses nouvelles recrues. Au cours de la discussion, Sakakibara se perd dans ses pensées et se retrouve finalement à valider un projet de soirée entre les membres de son agence et les deux nouvelles actrices des choux roses accompagnées de Mlle Edaburu. Obi est extrêmement content et Sakakibara comprend bientôt pourquoi : les soirées organisées par la société des choux roses sont réputées pour être de celles où les rêves se réalisent ; les rêves érotiques bien évidemment ! Après le boulot, Obi et Sakakibara rencontrent leur collègue Shioda, accompagné de Shinako, mais cette dernière est très mal à l’aise. Dans les toilettes, Sakakibara apprend que Shioda est clairement plus intéressé par le corps de Shinako que par le reste, et il décide alors de l’empêcher de nuire à cette dernière en la raccompagnant lui-même. Shinako lui apprend alors que Shioda aussi est invité à la petite soirée de Mlle Edaburu, et qu’elle doit l’accompagner. La petite virée s’annonce d’ores et déjà mouvementée…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après deux volumes assez tristes et faisant la part belle aux histoires d’amours des protagonistes, ce douzième tome arrive comme un courant d’air frais pour renouveler un peu l’ambiance. Bon, un courant d’air, pas un coup de vent non plus. Car Sakakibara est toujours en pleine déprime. Mais pour le reste, les gags sont de retour et les scènes sexy sont beaucoup plus nombreuses. Même les graphismes ont repris du poil de la bête et l’auteur nous offre des nus tout à fait délicieux (fans de petites poitrines s’abstenir), surtout sur les gros dessins (et non pas les gros seins. Enfin, quoique…) qui s’avèrent assez détaillés. Quelques croquis, parfois agrémentés d’une courte anecdote, sont publiés entre les chapitres et feront plaisir aux plus intéressés. Les situations changent, le scénario se renouvelle un peu, les quelques gags, sans être désopilants, passent bien, on a le droit à des scènes lesbiennes, et on voit même la conclusion de l’histoire d’amour de Kanawatari, le collègue enrobé de Sakakibara. Un bon volume quoi.