L'histoire :
En déclarant vouloir devenir humain, Samatarô laisse sa famille et son ange gardien pantois. Dans un premier temps, son divin père se moque de lui mais c’est ensuite au tour de Tenko de s’exprimer. Celle-ci rentre dans une colère noire et finit par déclarer qu’elle fera tout pour que le jeune homme puisse sortir avec Komori. Le lendemain, Tenko n’accompagne pas Samatarô au lycée pour que celui-ci puisse venir seul avec l’élue de son cœur et, une fois au lycée, leur donne un bentô pour deux et des places de cinéma. A la fin de la journée, Samatarô remercie Tenko qui, les larmes aux yeux, espère qu’il ne veut plus devenir humain. Une fois seul dans sa chambre, Samatarô parle par télépathie à son père et lui demande de le faire devenir humain pour qu’il ne fasse plus pleurer Tenko : d’après lui, si cette dernière ne doit plus s’occuper de lui, elle n’aura plus de raison d’être triste. Son souhait est alors exaucé mais, dès son réveil, les choses vont mal se passer pour le garçon...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
D’entrée de jeu, les choses changent : après s’être rapproché un peu plus de Komori, Samatarô devient humain mais sa vie ne va pas être facilitée pour autant car il va devoir tout recommencer, et ce sans miracle à tout bout de champ. Du coup, il y a toujours énormément de gags et ceux-ci sont un peu plus efficaces que dans le volume précédent. De plus, la relation entre Samatarô et Tenko prend une nouvelle tournure car le jeune homme se rend compte de la place qu’occupe son ange gardien et amie d’enfance dans sa vie. Toujours sur un ton léger, l’ensemble devient plus attendrissant (voire un peu mièvre) mais cela fait plutôt du bien à l’histoire. Les dessins sont quant à eux dynamiques, avec un trait simple qui colle bien à l’ambiance et des planches fournies. Néanmoins, certaines tentatives d’effet de style de flou dénotent avec le reste du tramage. On notera également une petite baisse du fan-service malgré la présence de quelques culottes. En tous cas, ce deuxième volet se montre fort sympathique et la suite s’annonce mouvementée.