L'histoire :
- Lorsqu’il était enfant, Kôtarô s’était épris de sa professeur particulière et avait subi un gros choc en la voyant coucher avec son père. Aujourd’hui adulte, Kôtarô compte bien se venger et faire payer à la jeune femme d’être aussi dévergondée...
- Trois mois après son mariage, Tajima reçoit la visite de l’ancien patron de sa femme. Le jeune homme ignore que son épouse s’est tapée tous les employés de son entreprise et que ceux-ci la regrettent beaucoup. D’ailleurs, le patron va profiter de cette nuit pour raviver les souvenirs de la belle...
- Délaissée par son mari, Jun se rend sur le site d’un club de sexe collectif pour se masturber. Un jour, elle chat avec un des membres du club qui lui propose de participer à une session...
- Haraguchi est amoureux de sa professeur, Mlle Asuka. Un jour, le garçon la voit en train de coucher avec le prof de sport, un homme marié, et décide de la faire chanter pour coucher avec elle...
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Ce qu'on en pense sur la planète BD :
A l’instar de ses compères de la même collection, Partenaires particulières nous propose une sélection de chapitres tous plus juteux les uns que les autres et sans aucune censure. Ici, ce ne sont pas moins de 19 épisodes (dont quelques-uns suivants un fil conducteur commun) que l’on découvre. Au menu : femmes mariées perverses, professeurs dévergondées, et demi-sœurs très coquines ! Malheureusement, on est rapidement déçu par l’ensemble qui accumule des problèmes scénaristiques récurrents. Ainsi, si cela ne dérange pas d’avoir des synopsis aussi épais que des strings, on regrette que la narration soit aussi abrupte, hachée, et surtout les ambiances souvent malsaines. En effet, les jeunes femmes participent presque toutes à des sessions collectives contre leur gré (ou sont filmées à leur insu), trompent leur mari ou font du détournement de mineur : certes, elles finissent par adorer cela, mais cette absence certaine de moralité gâche les récits. Du côté des graphismes, on voit des jeunes femmes mamelues à souhait prendre du plaisir de manière très humide, les personnages ont des silhouettes soignées et des visages travaillés. Par contre, on regrette que les pages soient chargées car certaines sont parfois difficiles à déchiffrer. Bref, ce one-shot n’est pas le meilleur dans le genre : à vous de voir, donc, mais à choisir la collection contient de bien meilleurs titres.