L'histoire :
Emi, Rie et Fumiko ne sont pas des lycéennes comme les autres : ce sont des idoles qui forment le groupe à la mode, Rin. Hier soir, les demoiselles ont d’ailleurs donné un concert et le public était aussi présent qu’enchanté. Aujourd’hui, Emi qui est la leader du groupe, s’empresse de retrouver son camarade et petit ami, Nakane. Malgré la performance de la veille, la jeune fille n’est pas fatiguée et a très envie de faire l’amour avec Nakane. Les cours reprennent et les deux tourtereaux sont absents : Fumiko et Rie ont bien compris qu’ils sont encore en train de faire l’amour et attendent la pause pour aller séparer les deux amoureux. Il faut dire qu’Emi doit aller travailler à l’agence. Les trois jeunes filles connaissent ainsi une certaine routine mais l’arrivée de nouvelles élèves, elles aussi idoles, pourrait bien changer des choses...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Premier titre de Hiroshi Itaba à nous parvenir en France, Rin backstage nous dévoile donc les trois idoles qui composent le groupe Rin dans leur quotidien : Emi passe beaucoup de temps à faire l’amour avec son copain, Fumiko aime se toucher en matant les autres et Rie adore filmer les gens en plein ébats. En plus de leurs penchants sexuels assez envahissants, les trois demoiselles doivent gérer une rude concurrence, notamment via deux groupes d’idoles qui commencent à avoir du succès. L’histoire semble prometteuse en alliant des idoles à des scènes coquines mais on regrette que le scénario ne soit pas un poil plus exploité. On doit se contenter de scènes où les demoiselles font l’amour mais les chapitres se suivent sans réel fil conducteur. De plus, on ne ressent pas du tout les enjeux musicaux et certaines scènes manquent de bon goût. Du côté des dessins, les planches ont une légère tendance à être chargées et on doit parfois rester un moment à les regarder pour bien voir tout ce qu’il se passe. Néanmoins, les scènes hot remplissent leur office, les demoiselles ont des formes sympathiques, et la variété de leurs tenues est plaisante. En résumé, ce hentaï déçoit un peu par son histoire mais les graphismes restent corrects.