L'histoire :
Kaoru, un lycéen ordinaire, se fait brimer par des voyous. Aujourd’hui, le garçon brave sa peur et repousse ses agresseurs qui n’apprécient pas du tout son geste. Regrettant d’avoir tenté de se rebeller, Kaoru prend la fuite et se réfugie dans la première boutique qu’il trouve ouverte, un cabinet d’arts divinatoires. La gérante, Kyôko, accepte d’aider Kaoru et, après avoir écouté son histoire, lui propose de l’hypnotiser pour qu’il n’ait plus peur. Seulement, pour cela, Kaoru doit se mettre dans un état bien particulier : celui dans lequel il est après une bonne éjaculation. Kaoru est gêné et n’en croit pas ses oreilles. Kyôko décide alors de l’aider et se met à le sucer. Cela va marquer le début des véritables ennuis pour le garçon...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après How good was I ?, Yamatogawa nous fait le plaisir de revenir en nous proposant ici non pas un recueil de nouvelles mais une histoire complète. Le personnage principal, Kaoru, est un lycéen brimé qui devient une véritable bête de sexe après avoir fait la rencontre d’une voyante voulant se servir de lui comme cobaye. Du côté scénario, le synopsis est certes léger mais le récit est finalement relativement intéressant : d’autres jeunes femmes en veulent au pouvoir de la voyante et vont utiliser le garçon, la mafia aussi tient à se mêler à la partie, ainsi qu’une sorcière et - bien entendu - les sentiments des jeunes gens. Le récit ne se prend pas vraiment au sérieux et la plupart des situations sont drôles ou bien encore complètement farfelues. On passe donc un moment assez divertissant et on apprécie de voir ces demoiselles varier les positions et les techniques pour donner et prendre du plaisir à volonté. On restera peut-être un peu déconcerté devant les homoncules (des femmes avec un pénis et un vagin) et une jeune femme ayant rajeuni son apparence (pour un résultat visuel qui flirte avec les travers pédophiles habituels des japonais). Le reste est sinon très charmant et juteux à souhait. Les scènes de sexe ne cachent rien et permettent de s’en mettre plein les yeux (!), sans oublier la présence de quelques sympathiques pages en couleurs. Voici donc un hentaï ensorcelant !