L'histoire :
Jojo s’est introduit dans la base nazie où Speedwagon est retenue prisonnier. Dans le laboratoire du sous-sol, l’expérience menée sur l’homme du pilier a échappé des mains des nazis : Santana s’est libéré de sa cellule ! Avec ses pouvoirs phénoménaux, cette « forme de vie ultime » anéantira l’humanité une fois dehors. Les seuls encore en vie sont l’officier Stroheim, Speedwagon et Jojo. Ce dernier tente de parler avec le monstre et le tester, pour voir s’il y a vraiment une raison valable de se battre contre lui : après tout, pour le moment, il n’a fait que s’en prendre aux nazis qui l’avaient capturé. Mais Santana se montre rapidement agressif : il considère les humains comme des formes de vie primitives sans importance. Voyant qu’il n’arrive pas à absorber Jojo, il fouille dans la mémoire de Speedwagon et découvre qu’ils utilisent l’onde, et que l’humanité a un peu évolué en deux millénaires. Mais lorsque Jojo se sert de l’onde pour porter un coup à Santana, son énergie semble glisser sur la créature sans la blesser. La seule solution pour venir à bout du monstre serait de l’emmener à la lumière du soleil, mais comment réussir à contraindre cette créature surpuissante à remonter à la surface en plein jour ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les choses sérieuses commencent avec le réveil de « la forme de vie ultime » qu’est Santana, l’homme du pilier. D’entrée de jeu, Jojo doit l’affronter, mais comment faire contre une créature surpuissante, que l’onde n’atteint pas et qui peut absorber les gens rien qu’en les touchant ? Cette fois encore, Il n’est plus question simplement de pouvoir, mais il faut réfléchir pour vaincre, et c’est ce qui fait l’intérêt des affrontements. Et le pire reste à venir, puisqu’en Italie, à Rome, trois autres hommes du pilier reprennent vie à leur tour... Jojo a beau cabotiner toujours autant, les combats deviennent plus fous et plus intenses que jamais. L’action est au rendez-vous presque sans temps mort, et le récit nous tient donc du début à la fin sans qu’on n’ait le temps de s’ennuyer. Il n’y a pas que l’aventure qui est « bizarre », car les graphismes ne sont encore une fois pas en reste dans le domaine, les pouvoirs particuliers des hommes du pilier permettant quelques fantaisies étranges comme les affectionne le mangaka. Vu la situation en fin de volume, il va sans dire qu’on attend troisième opus.