L'histoire :
Rito a avoué à Lala ses sentiments mais a admis en ressentir de plus forts pour Haruna. Cependant, Lala est tout de même heureuse : si Rito les épouse toutes les deux, il sera roi de Deviluke et ils pourront vivre heureux tous ensemble. Pour cela, il va tout de même falloir aider le garçon à se rapprocher de Haruna. En entendant tout cela, Momo a une idée de génie : elle va constituer un harem pour aider Rito à devenir un homme à femmes afin qu’il devienne un roi avec des maîtresses, dont Momo aimerait faire partie. En effet, Momo est amoureuse du jeune homme mais ne veut pas être la n°1 dans son cœur, la place de 2ème ou 3ème lui suffisant amplement. Le problème, c’est que Rito n’est pas vraiment d’accord et la mise en place du harem va elle aussi être parsemée d’embuches...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le manga harem To love s’étant montré long et dépourvu d’une vraie conclusion, on est moyennement surpris de voir ce To love - Darkness paraître. Chargé de reprendre la suite, c’est cette fois Momo qui est le moteur de la série car elle a décidé de créer un harem pour Rito afin que celui-ci devienne un roi avec des maîtresses et lui accorde donc ses faveurs. Le synopsis est passablement ridicule et force est de constater que le scénario est à la limite de l’inexistant. Néanmoins, pour les fans, on apprécie de revoir chacun des personnages car tous ont un petit passage les mettant en scène : ainsi, chacun son tour, les filles se retrouvent nue devant/sur Rito. En fait, si l’intrigue a réussi à mincir alors qu’elle était déjà très fine, le fan-service est quant à lui poussé beaucoup plus loin car les pages de nudité et les cadrages avantageux sont beaucoup plus nombreux et plus osés : les jeunes filles passent à l’attaque et on ne compte même plus les rêveries où Rito les tripote. Graphiquement, on ne constate pas énormément de différence avec la sérié précédente mais la qualité est indéniable. Les personnages sont mignons, ces demoiselles bénéficiant évidemment d’une attention toute particulière, et le fan-service règne donc en maître. Hélas, c’est à peu près le seul intérêt de cet opus. Au final, ce premier volume ne laisse pas d’ombre planer quant au but de ce titre : montrer en abondance des filles toutes nues, et rien d’autre !