L'histoire :
- Comme Momo a plusieurs admirateurs au lycée, ces messieurs sont décidé à créer un fan-club : le Venus Momo Club. La belle extra-terrestre est d’abord flattée, mais elle va ensuite réaliser que cela l’empêche de se rapprocher de Rito...
- A cause d’une invention de Lala, Rito et Haruna échangent de corps. Cependant, ils ne le disent pas à Lala pour ne pas faire de peine à cette dernière, la permutation ne devant durer que sept heures. Hélas, ils vont vite réaliser que ce délai est franchement long...
- En se rendant à une animalerie pour regarder des chatons, Yui rencontre Rito. La jeune fille est bien embêtée car elle n’ose pas lui dire la raison de sa sortie, mais elle a bien vite un autre problème : une moufette régressive (dont le gaz rajeunit les gens) traîne dans les parages...
- Cela fait trois jours que Mea n’a pas eu de nouvelles de Némesis et la demoiselle se sent particulièrement déprimée à cause de cela. Rito va alors tenter de lui redonner le moral mais la jeune fille ne va pas apprécier...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Plus la série avance, plus ça devient du n’importe quoi. L’auteur ne chercher même plus à avoir de fil conducteur pour tenter de justifier vaguement cette calamité scénaristique : ici, les chapitres s’enchaînent et se contente de passages de la vie quotidienne où le pauvre Rito doit subir les assauts des extra-terrestres qui en veulent à sa chasteté et il se retrouve à chaque fois à peloter accidentellement ses camarades. Le récit est donc consternant et les personnages ont toujours des réactions complètement improbables quelle que soit la situation dans laquelle ils se trouvent. Certes, graphiquement la qualité est là et on peut s’en mettre plein les yeux, l’imagination des auteurs pour détourner la censure tout en représentant des passages érotiques étant à souligner. Seulement, les corps de ces demoiselles ont toujours l’air trop juvénile, ce qui fait ressentir un certain malaise, et la mise en scène manque parfois de subtilité. En résumé, zéro scénario et abondance de (trop) jeunes filles : une mauvaise formule !
