L'histoire :
- A force de se changer matin et soir, Kakushi en oublie parfois des accessoires : lunettes, tongs... Il trouve à chaque fois une excuse bidon à sortir à sa fille, mais sait que cela ne peut pas durer. Il doit trouver un moyen de ne plus faire de boulettes...
- Les assistants de Kakushi se sont tous blessés et ne peuvent donc pas travailler pendant quelques temps. Le mangaka doit recruter en urgence un assistant...
- Himé montre sa maison à ses amies. Comme la demeure ne paye pas de mine, les filles pensent alors que la famille de Himé est pauvre. La demoiselle se met alors en tête de faire des économies...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les aventures s’enchaînent mais durent moins longtemps que dans le précédent opus : chaque chapitre se décompose en plusieurs parties pour traiter d’un sujet particulier (déguisements, économies...). Le problème, c’est que l’intrigue de base (à savoir Kakushi qui cache son métier de mangaka à sa fille) est quasiment entièrement mise de côté au profit d’un humour très répétitif et assez absurde. La majorité du temps, on voit Himé tenter de s’intégrer aux filles tandis que son père enchaîne les galères au boulot, sans que ce qui arrive à l’un ait une réelle incidence sur la vie de l’autre. En fait, on en apprend plus sur le métier de mangaka et l’auteur que sur les personnages. L’histoire, elle, ne progresse pas vraiment, si ce n’est les pages couleurs en fin de tome qui racontent le dénouement. Les dessins sont quant à eux plutôt bien fichus. Ce deuxième volet nous laisse assez blasés finalement.
