L'histoire :
Ce numéro contient :
- Star Wars (épisodes 5 et 6) : Luke Skywalker est revenu sur sa planète natale Tatooine en compagnie du robot R2D2. Dark Vador a engagé le chasseur de primes Boba Fett pour qu'il découvre l'identité de l'homme qui a détruit l'étoile noire. Il parvient très vite à retrouver sa trace sur Tatooine mais ne connaît toujours pas son nom. Boba Fett interroge alors la clientèle d'un bar et, avec une persuasion certaine, obtient un nom : Skywalker.
- Darth Vader (épisodes 5 et 6) : En apprenant que l'Empereur a songé à le remplacer par d'autres postulants, le seigneur Vador se rend aux confins de la galaxie afin d'éliminer ceux qui ont été formé dans ce but. En s'alliant au docteur Aphra, le Sith s'appuie sur une armée de droïdes et compte bien là-dessus pour devenir la seule et unique main de l'Empereur Palpatine.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les deux premiers numéros de la revue Star Wars ont très vite su capter l'intérêt des fans de la saga cinématographique. Avec seulement deux séries à son sommaire, le magazine a l'avantage de proposer deux épisodes par titre permettant très vite d'être plongé dans les aventures de Luke Skywalker et de Dark Vador. Les épisodes 5 et 6 concoctés par le scénariste Jason Aaron sur la série Star Wars mettent en avant un personnage que beaucoup adorent : Boba Fett. Le célèbre chasseur de primes traque le jeune Jedi et essaie d'en apprendre un maximum sur celui qui a détruit l'Etoile Noire et une usine d'armements. L'auteur intègre toujours aussi bien son récit au sein de l'univers créé sur grand écran. Jason Aaron s'offre même une révélation de taille avec l'apparition d'une nouvelle figure en lien avec Han Solo. John Cassaday a déjà conquis les lecteurs autrefois avec un style soigné et incroyable . Désormais, l'artiste alterne les prestations correctes, sans plus. Sur Dark Vador, le scénariste Kieron Gillen fait dans l'efficace plutôt que dans l'original et le palpitant. Les deux chapitres sont divertissants mais loin d'être les pépites attendues par les fans. Niveau dessins, Salvador Larroca s'en sort plutôt pas mal. Ce numéro marque la fin des premiers cycles pour chacune des deux séries et même si celles-ci ne sont pas aussi cultes qu'espérées, elles se montrent suffisamment bonnes pour que l'on poursuive la lecture des prochaines revues.
