L'histoire :
Logan a longtemps été solitaire mais dans sa longue errance, il a croisé la route d'un chien abandonné. Wolverine s'est pris d'affection pour l'animal et n'hésite pas à jouer à la balle sur la plage de Venice. Le jouet finit par toucher une jeune femme qui passait son temps à bronzer. Celle-ci engage la conversation avec Logan. Elle a l'air gentille et elle demande à Wolverine si il peut jouer le garde du corps le temps d'une ou deux soirées. Très vite, Logan comprend que la nommée Candace Cassidy ne joue pas vraiment au mannequin mais plutôt à la compagne d'un instant. Alors qu'il la dépose chez un homme vivant dans une grande propriété gardé par de nombreux vigiles, il entend Candace crier...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Wolverine Max a laissé une première impression assez positive, avec une mise en bouche efficace à travers laquelle on découvrait un héros meurtri par un passé oublié. L'option plus réaliste choisie par Jason Starr, bien que l'on conserve les griffes et le pouvoir guérisseur de Logan, amène une ambiance assez différente des séries dans lesquelles nous sommes habitués à voir déambuler le Griffu. Cette tonalité plus polar se retrouve une fois encore dans un second opus qui confirme les qualités entrevues jusqu'ici. Dans la première partie de l'ouvrage, Wolverine fait tout son possible pour protéger une jeune femme d'un riche individu. Puis la seconde une virée retraces ses souvenirs. Loin d'être parfait, le récit reste cependant agréable à suivre malgré quelques dialogues ou rebondissements convenus. Visuellement, le résultat est assez irrégulier. Felix Ruiz s'en sort bien, tout comme Roland Boschi, alors que Kim Jacinto ou Guillermo Mogorron ne devraient pas faire l'unanimité. >Wolverine Max n'a probablement pas l'étoffe des séries triple A que produit Marvel à la pelle, mais ne manque pas d'intérêt, surtout pour celles et ceux qui cherchent un peu de nouveauté dans un paysage super héroïque assez balisé.