L'histoire :
Au sommaire de ce numéro (kiosque) :
- Batman #42 : Superheavy (Poids lourd) : Gordon ne sait pas que sa fille est Batgirl. C'est d'autant plus compliqué depuis qu'il a repris le rôle de Batman...
- Detective Comics #42 : Partnerships (Partenariats) : Même si une armure protège Gordon, il a besoin d'alliés pour assumer la charge de protecteur de la ville.
- Robin, Son of Batman #2 : Year of Blood (L'An de sang) : Robin a décidé de retrouver sa mère, Talia al Ghul, pour réparer les erreurs qu'il a faites par le passé...
- Batgirl "42 : Surge Protection (Haute Tension) : Barbara a toujours caché à son père son identité secrète de Batgirl. Pas évident de lui faire face, maintenant qu'il est Batman...
- Grayson #10 : Nemesis (Nemesis) : Infiltré au sein de Spyral, Dick Grayson est la taupe du Batman. Mais son mentor ne répond plus à ses messages, ce qui commence à poser problème...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Jim Gordon a toujours été un personnage influent auprès du Batman, mais après avoir été jeté en prison (voir les albums Batman Eternal), il revient au premier plan en endossant le costume de Batman, ou plutôt son rôle, sous le contrôle du GCPD et à l'aide d'un arsenal technologique sans lequel sa durée de vie serait plus que limitée. La série-mère ouvre donc le bal sous cet angle narratif, sachant que Bruce Wayne recommence à pointer le bout de son nez.... Puis c'st un épisode de Detective Comics qui prend la suite. Les dessins de Fernando Blanco séduisent alors que le scénario n'est guère original. Le récit a tout de même le mérite de laisser une belle place à la personnalité d'un autre flic qui compte à Gotham : Bullock. Puis c'est au tour de Robin d'entrer en scène. Comme toujours, on se régale des dessins de Patrick Gleason, qui signe aussi le scénario. A défaut d'être profond, il place l'action et le spectacle au premier rang. Mention spéciale à John Kalisz et Jeromy Cox qui envoient des couleurs nous en mettant plein les yeux ! Batgirl n'est pas non plus visuellement en reste. Le visuel de Babs Tarr est toujours aussi agréable et colle vraiment bien au ton léger de la série. Enfin, l'ami Grayson ferme le ban. On n'a jamais eu à se plaindre depuis que Mikel Janin en signe les graphismes et ce n'est pas non plus cette fois que ce sera le cas. Un bon numéro !