L'histoire :
Sôji, un membre du Shinsengumi, a une altercation avec des samouraïs du Son-Jô. Le jeune homme ne veut pas se battre mais le groupe auquel il a affaire est bien décidé à le tuer sur le champ. C’est à ce moment qu’arrive Hijitaka, le vice capitaine du Shinsengumi, et les deux hommes mettent leurs adversaires à terre sans les tuer. L’affrontement a eu lieu devant la boutique d’un marchand de bois et celui-ci les remercie de s’être débarrassés des samouraïs errants. Cependant, l’un d’eux se relève et se jette sur Hijitaka. Sôji arrive à l’en empêcher mais, malheureusement, il n’a pas pu éviter de tuer l’homme. Un peu après cela, alors que Sôji et d’autres membres du Shinsengumi se réjouissent que la fête de Gion approche, Hijitaka leur annonce qu’ils vont devoir arrêter le marchand de bois car il est impliqué dans un complot du Son-Jô...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Contrairement au volume précédent, ce n’est pas à la fin du Shinsengumi que l’on assiste, l’histoire s’attachant plutôt à nous décrire trois hommes qui en ont fait partie : Sôji, qui veut tuer l’assassin de son père, Hijitaka, et la première fois où celui-ci a tué un homme, et enfin Serizawa, le capitaine qui se montre très violent pour forger la réputation de la milice. Malheureusement, le scénario ne se montre toujours pas intéressant de par des personnages qui ne sont pas vraiment attachants et un manque d’intrigue principale. Et ce n’est pas la narration hachée et maladroite qui va rendre le tout plus agréable à suivre. Du coup, on s’ennuie et les graphismes n’arrivent pas à rattraper le tout, malgré des personnages expressifs et un découpage varié : les scènes d’action manquent de fluidité, les personnages sont trop féminisés, le rendu du tramage laisse à désirer. Bref, une courte série à oublier.