L'histoire de la série :
Daisuké Niwa est en apparence un collégien de 4
L'histoire :
Daisuké est amoureux de Risa Harada et aujourd'hui, jour de la St White est l'occasion rêvée pour le lui avouer. Il lui suffit de lui offrir un ruban blanc qu'elle nouera en signe de réciprocité. Malheureusement, Risa lui annonce qu'elle est amoureuse de Dark. Le choc est tel que Daisuké disparaît pour laisser la place à Dark mais, fait exceptionnel, seules leurs personnalités ont permuté cette fois. Dark séduit alors Riku, la soeur jumelle de Risa et ce sous l'apparence de Daisuké. Ceci fait disparaître complètement ce dernier et permet à Dark de retrouver son apparence d'origine. L'arrivée de Kosuké, le père de Daisuké pourrait bien résoudre le problème... Mais La clé n'est-elle pas Riku Harada ? Pour ne rien arranger, Daisuké/Dark se fait enlever par Reiji Saga pour participer à un spot publicitaire, et ce à l'occasion d'un nouveau vol annoncé de Dark. Celui-ci pourra-t-il trouver un compromis avec un Daisuké en pleine tourmente et commettre son méfait malgré la présence de Reiji et surtout de Satoshi Hiwatari, toujours bien décidé à le coincer ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce tome 3 est à l'image de la série : dynamique mélange entre jeux amoureux et intrigues familiales. Il permet en effet d'en apprendre plus sur les Niwa et leurs liens avec les Hiwatari, avec notamment l'entrée en scène du père de Daisuké. Le scénario jongle bien entre les différents centres d'intérêt de la série et est relativement facile à suivre. Petit bémol cependant avec des raccourcis scénaristiques fréquents qui nuisent à la crédibilité des sentiments des personnages. Ces changements de comportements rapides, parfois difficiles à expliquer sont accompagnés de scènes tout aussi rapides dans leur enchaînement où plusieurs lectures sont nécessaires pour comprendre le pourquoi du comment. Deux causes à cela : les dialogues, où on a parfois l'impression d'une traduction erronée, quand ce n'est pas un bout de texte qui manque (coupure de page hasardeuse ou lettres manquantes); et les dessins, dont les actions vues de trop près empêchent parfois d'avoir une vue d'ensemble. Malgré tout ce tome 3 de D.N. Angel n'est pas une lecture déplaisante, loin s'en faut, et remplit bien son rôle de petit manga sympathique...