L'histoire :
Ce numéro contient :
- Star Wars (épisodes 3 et 4) : Luke, Leia, Han Solo et Chewbacca se sont infiltrés sur Cygmoon 1 pour détruire la principale usine d'armement de l'Empire. Seulement, leur plan échoue avec l'arrivée inattendue de Dark Vador. Ce dernier lance ses Stormtroopers sur les Rebelles et n'hésite pas à prendre part au combat. Le héraut de l'Empereur observe d'ailleurs les actes de Luke, ce jeune homme qui a participé à la destruction de l'Etoile Noire...
- Darth Vador (épisodes 3 et 4) : Sur un monde en quarantaine, une jeune femme déjoue les systèmes de sécurité d'une base surprotégée. Il s'agit du docteur Aphra, une spécialiste en robotique. Alors qu'elle se fait interpeller, un chasseur Tie atterrit. A son bord se trouve Dark Vador. Celui-ci n'a pas les autorisations pour être ici mais n'en a que faire. Il veut que le docteur Aphra l'aide à regagner l'estime perdue de l'Empereur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les intrigues progressent à leur rythme dans ce second numéro de la revue Star Wars contenant les nouvelles séries lancées en début d'année par Marvel. Le magazine s'ouvre tout d'abord sur 2 épisodes du Star Wars écrit par Jason Aaron. Le scénariste nous montre comment Luke et ses compagnons vont pouvoir sortir du guêpier dans lequel ils se sont enfoncés. En voulant détruire une usine d'armement de l'Empire, les Rebelles ne pensaient pas tomber sur Dark Vador. Jason Aaron l'utilise d'ailleurs assez bien et montre aux lecteurs certaines de ses capacités au combat. Le récit est, en outre, mené tambour battant. Même si nous n'avons pas là la meilleure histoire jamais écrite sur Star Wars, les deux épisodes sont agréables à suivre. En plus, John Cassaday s'en sort convenablement niveau dessins. Le second titre, Darth Vador, se montre finalement bien plus intéressant que prévu. L'arrivée d'un nouveau personnage, le docteur Aphra, apporte un nouvel élan à l'histoire de Kieron Gillen. Reste à voir où l'auteur voudra bien nous conduire. Le constat est le même au niveau des dessins. Salvador Larroca s'en sort bien et ses planches sont toujours d'une grande lisibilité. Un second numéro digne d'intérêt.